Le Projet-Sens, une notion centrale

Je vous propose de partir du postulat suivant :  notre vie se tisse essentiellement sur une sorte de canevas qui se constitue durant les 18 mois précédant notre naissance, incluant celle-ci. Cette période est appelée Projet-Sens.  Nos cellules sont marquées par les événements et l’ambiance du tout début de notre vie dès notre conception, et même bien avant par l’histoire de nos parents, celle du couple qu’ils forment ou ont formé, celle de leurs familles, et par celle de nos ancêtres. Ainsi, nous pouvons dire que les empreintes de nos souffrances se trouvent dans notre inconscient biologique cellulaire.

  • Le contexte et le vécu :
    • des 9 mois avant notre conception
    • de notre conception
    • des 9 mois de notre gestation
    • de notre naissance

constituent notre Projet-Sens, c’est à dire le projet de nos parents – même s’il s’agit d’un non-projet – qui donne sens à notre vie, c’est à dire son orientation originelle.         “L’acquis des parents devient l’inné de l’enfant.

Si nous ajoutons au Projet-Sens, les 9 mois qui suivent notre naissance, cela forme un cycle de 27 mois, appelé Cycle d’Imprégnation.

Le Projet-Sens constitue la référence à laquelle notre corps cherche à revenir cycliquement tout au long de notre vie. Tant que nous ne prenons pas conscience des informations inscrites dans nos cellules durant notre Projet-Sens, nous répétons sans cesse les mêmes comportements inadaptés, souvent avec de plus en plus d’intensité et de souffrance.

En effet, les faits marquants de notre vie résonnent à ceux qui fondent notre cycle d’imprégnation et plus particulièrement, notre Projet-Sens. Le but du travail en Mémoire Cellulaire est de retrouver les événements premiers avec les ressentis, les émotions et les sensations qui y sont associés, pour pouvoir transformer nos comportements inadaptés.

 

Marie-Christine Snyders – Praticienne en Mémoire Cellulaire – Paris 19ème